Nicki Styx, Tome 2
Résumé (traduction personnelle) : Après avoir frôlé la mort et fait un bref voyage dans l’au-delà, Nicki Styx, propriétaire d’un magasin de vêtements vintage, est devenue malgré elle la copine des défunts. Elle peut voir et entendre les esprits, et ils ne demandent qu’à être entendus ! Heureusement, son nouveau petit ami, le sexy docteur Joe Bascombe, est là pour l’aider, surtout lorsque Nicki doit affronter son dernier fantôme, une femme vêtue de paillettes roses qui détient la clé de certains secrets de famille.
Malheureusement pour Nicki, il s’avère qu’il y a plus de squelettes dans le placard familial qu’elle ne le pensait, notamment une sœur jumelle et une maison mystérieuse pleine d’esprits et de surprises. Les choses vont aller de mal en pis lorsque le diable en personne se présente, déterminé à séparer Nicki et Joe. Va-t-elle céder à la tentation et vendre son âme (ou celle de quelqu’un d’autre) pour une nuit incroyable ?
Les démons sont peut-être les meilleurs amis des goules, mais avec ce mec sexy, ça pourrait être un mariage en Enfer !
Avis : J’ai passé un bon moment avec le premier tome et j’avais le second depuis des années. J’avais envie de quelque chose de léger, même si je ne me rappelais pas grand-chose du premier tome, mais ça ne m’a pas trop posé de problèmes.
Nicki file enfin le parfait amour jusqu’à ce que le fantôme d’une femme se présente à elle et lui demande d’aller aider sa fille après un accident de voiture. Mais voilà, elle découvre que la jeune femme qu’elle a sauvée rien personne d’autre que sa sœur jumelle. Kelly est tellement différente de Nicki et l’entente entre les deux sœurs ne sera vraiment pas simple. En plus de ça, une créature dans l’ombre est bien décidée à mettre tout en œuvre pour faire tomber les sœurs et Nicki va devoir tout faire pour sauver sa sœur.
Le roman se lit assez vite et j’ai passé un bon moment. J’étais assez curieuse de voir comment nos deux sœurs allaient s’en sortir. Il ne faut pas être trop exigeant, mais je lirai la suite avec plaisir.
