Immortal Vices and Virtues, Tome 1
Résumé : « Markus Del Reyes, je te rejette. »
Il ne m’a pas laissé le choix.Je refuse de passer le restant de mes jours aux côtés de celui qui m’a tyrannisée toute mon enfance, tant pis s’il est mon âme jumelle. J’ai beau être une métamorphe maudite, incapable de me transformer, je ne suis pas désespérée à ce point.
Du moins, je ne l’étais pas, jusqu’à ce que l’Alpha suprême me bannisse de la Maison du Feu et de la Fluorine pour avoir rejeté son fils.
Je me retrouve à présent sans meute.Sans foyer.Et sans protection.
C’est alors que le mystérieux roi vampire de la Maison du Sang et du Béryl pose les yeux sur moi.Il propose de me protéger de mon ancienne Maison si j’accepte de rejoindre la sienne. Mais rien n’est jamais gratuit. Il attend quelque chose de moi, et ce n’est pas mon allégeance.
Il est ma seule chance de survie. Mais à quel prix ?
Avis : J’étais curieuse de découvrir ce roman de Kel Carpenter. C’est une série qui propose des tomes indépendants. Ce qui est amusant, c’est que chaque tome est écrit par un auteur différent. Pourtant, le deuxième tome porte sur une des sœurs de Dannika qui est le personnage principal de ce roman.
Je ne savais pas trop à quoi m’attendre en commençant le roman, mais c’est bien une romance paranormale plutôt classique dans le genre. Donc bien sûr, la romance est très présente dans l’histoire.
Dannika essaie de vivre sans se faire remarquer au sein de sa meute. Ce n’est pas simple… Et encore moins quand elle se retrouve être l’âme soeur du fils de l’alpha. Le type qui l’a harcelée et torturée toute son enfance. Alors bien sûr, elle le rejette. Pourtant il n’en fait rien de son côté. Obligée de fuir son père qui est décidé à l’éliminer, elle se réfugie au sein du clan des vampires dont le roi lui propose un étrange marché pour la protéger : qu’elle joue le rôle de son âme soeur. Mais quand fiction et sentiments se mélangent, ce n’est pas facile.
C’était un roman sympa, même si j’en attendais peut-être un peu plus.
She reads a book
Des tomes indépendants, c’est bien ça !! Et alors pour une fois, je préfère la couverture francophone que l’originale 😉