Résumé (traduction personnelle) : Depuis la disparition, il y a plusieurs années, de leur père, Cinder et Ella doivent s’occuper de deux horribles soeurs et d’une mère devenue folle. Même s’il semble que leur famille soit maudite, elles n’ont pas perdu espoir que leur père puisse toujours être en vie. Quand Cinder quitte la maison pour aller travailler au château en tant que servante, Ella, quant à elle, refuse d’y aller. Mais il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu’elle soit, elle même, obligée de s’y rendre. Et ce qu’elle y trouve pourrait bien changer sa vie et celle du royaume.
Un brave chevalier, une héroïne pleine de courage, et un arbre situé dans un endroit de rêve – voici ce qui est au coeur de Cinder and Ella, une histoire de Cendrillon comme nulle autre.
Nous n’avons pas de belle mère, mais une petite famille de quatre enfants : Katrina, Béatrice, Cinder et Ella. Le père a disparu, laissant sa famille partir totalement à la dérive.
Avec un tel titre, on ne peut éviter de chercher les similitudes entre les deux histoires. Par exemple, Katrina, avec son caractère épouvantable et son désir d’être servie par les autres, pourrait bien être assimilée à Anastasie ou Javotte. Mais c’est la seule chose qui nous rapproche de notre Walt Disney.
Nous avons bien entendu un prince, non charmant, mais maléfique. D’autres personnages sont très présents. A l’exemple de Tanner, un chevalier brave et loyal ou encore les deux acolytes peu recommandables du prince.
Cinder est une jeune fille, qui ne vit que pour servir les autres, chose qui la rend des plus heureuses. Ella, de par son caractère, la complète parfaitement. Elle est indépendante, avide de liberté et d’amour. Les deux soeurs, bien que différentes, s’apprécient sincèrement. En combinant leurs deux personnalités on semble retrouver notre Cendrillon.
L’histoire est agréable à lire, mais très prévisible. Je m’étais tellement attendue à retrouver ce que je connaissais que je suis assez déçue de n’avoir aucune véritable correspondance. Ce n’était peut-être pas une bonne chose d’espérer faire le lien entre cette histoire et celle du conte de Perrault.