Friends Without Benefits by Penny Reid

Knitting in the City, Book 2

Synopsis: Friends Without Benefits can be read as a standalone, is a full length 120k word novel, and is book#2 in the Knitting in the City Series.

There are three things you need to know about Elizabeth Finney: 1) She suffers from severe sarcastic syndrome, especially when she’s unnerved, 2) No one unnerves her like Nico Manganiello, and 3) She knows how to knit.

Elizabeth Finney is almost always right about everything: the musical merits of boy bands are undervalued by society, “benefits” with human Ken dolls are better without friendship, and the sun has set on her once-in-a-lifetime chance for true love. But when Elizabeth’s plans for benefits without friendship are disarmed by the irritatingly charismatic and chauvinistic Nico Manganiello- her former nemesis- she finds herself struggling to maintain the electric fence around her heart while avoiding electrocution or, worse, falling in love.

Review: I find that romances should be reimbursed by the Social Security, I wonder if I will not write to our President to suggest it. What could be better than a very effective little romance, restoring our smile and fighting against the grisaille? They should be reimbursed by the government, I tell you that…

You already have understood it, I think, it is a nice discovery this “Knitting in the city” series. Good humor, good feelings, friendship, family, love, Nico … (sighs)

Ahhh, Nico …

I do not know how Elizabeth did to resist him. Well, yes, I know why: difficult passive, well-anchored disputes, painful past, the list of her reasons is long. But still … He was a dummy for underwear! And now, he animates a TV show and his nickname is the Face! A mannequin for underwear with a face! Besides, he takes care of his sick niece!

She’s crazy Elizabeth! (What do you mean? Do I look slightly hysterical? Not at all, I protest!)

In reality, she is not mad, she is even terribly endearing. Behind the gait of light romance, “Friends without Benefits” is more serious than it seems. Elizabeth has forged her carapace that she brandishes at every step, her fear of suffering keeps her from living. She excels in her profession, is an ideal friend, but she does not live. She claims that she is selfish, whereas she is simply terrified. I loved this character just as I loved this team of knitters, the friends on whom we can always count on.

And then there’s Nico … (What? Do I blur? No, no, I don’t!)

I did not know about Penny Reid at all, but I really enjoyed this story that mixes well distributed feelings, humor and family, pain and healing, Panties (yes, you read that well) and action.
Result, I devoured this book in one evening and I plan to put myself to Italian. To understand, read it … Me, I go away to buy the first volume, because this Quinn, he does not look bad at all!

4

Celine

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Simplement amis (malgré affinités) de Penny Reid

Le Club des Tricoteuses Anonymes, Tome 2

Résumé : Il y a trois choses que vous devez savoir sur Elisabeth Finney :
1) elle souffre d’un syndrome sévère du sarcasme, surtout lorsqu’elle est troublée,
2) personne ne la trouble autant que Nico Manganiello,
3) et elle sait tricoter.

Elisabeth Finney a presque toujours raison sur tout : l’intérêt musical des Boys Bands est sous-évalué par la société, les « Et plus si affinités » avec les Ken humains sont bien mieux sans attaches et elle a déjà manqué sa seule et unique chance de trouver le Grand Amour. Mais lorsque les plans d’Elisabeth de profiter des « Et plus si affinités » sans s’embarrasser d’attaches sont déjoués par l’incroyablement irritant, charismatique et macho Nico Manganiello – son ancienne Némésis – elle se retrouve à lutter pour maintenir la barrière électrique autour de son cœur tout en cherchant à éviter l’électrocution ou pire, le coup de foudre.

Avis : Je trouve que les romances devraient être remboursées par la Sécurité Sociale, je me demande si je ne vais pas écrire à notre Président pour le lui suggérer. Quoi de mieux qu’une petite romance bien efficace pour redonner le sourire et lutter contre la grisaille ? Elles devraient être remboursées par la Sécu je vous dis…

Vous l’avez déjà compris je pense, c’est une jolie découverte que celle de ce « Club des tricoteuses anonymes ». Bonne humeur, humour, bons sentiments, amitié, famille, amour, Nico… (soupirs)

Ahhh, Nico…

Je ne sais pas comment fait Elizabeth pour lui résister. Enfin si, je sais : passif difficile, différends bien ancrés, passé douloureux, la liste de ses raisons est longue. Mais quand même… Il a été mannequin pour sous-vêtements ! Et maintenant, il anime une émission de tv et on le surnomme le Visage ! Un mannequin pour sous-vêtements avec un visage ! En plus, il s’occupe de sa nièce malade !

Elle est folle Elizabeth ! (Comment ça, j’ai l’air légèrement hystérique ? Pas du tout, je proteste !)

En réalité, elle n’est pas folle, elle est même terriblement attachante. Derrière des allures de romance légère, « Simplement amis (malgré affinités) » est plus grave qu’il n’y paraît. Elizabeth s’est forgée sa carapace qu’elle brandit à chaque pas, sa peur de souffrir la retient de vivre. Elle excelle dans sa profession, est une amie idéale, mais elle ne vit pas. Elle prétend qu’elle est égoïste, alors qu’elle est simplement terrifiée. J’ai adoré ce personnage tout comme j’ai adoré cette bande de tricoteuses, les amies sur qui on peut toujours compter.

Et puis, il y a Nico… (Comment ça je radote ? Non, non !)

Je ne connaissais pas du tout Penny Reid, mais j’ai vraiment savouré cette histoire qui mélange réparties bien senties, humour et famille, douleur et guérison, soirées Culottes (oui, vous avez bien lu) et action.

Résultat, j’ai dévoré ce livre en une soirée et j’envisage de me mettre à l’italien. Pour comprendre, lisez-le… Moi, je m’en vais de ce pas m’acheter le premier tome, parce que ce Quinn, il n’a pas l’air mal du tout !

4

Celine

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Temps de Lune, L’intégrale de Céline Mancellon

Résumé :

Saison 1 : Mon ami le loup

Elizabeth Barrem se voit contrainte de suivre son père et passer sa dernière année de Lycée dans un trou perdu. Comme si ce n’était pas déjà pénible, on tente de la tuer dès son premier jour à coup de… ballon. Cet objet adulé par des milliers de fans de football sera le responsable d’une rencontre houleuse avec une montagne de muscles au sale caractère et celle d’un bad boy aussi ténébreux qu’entreprenant. Tous les élèves de cet établissement scolaire sont fous à lier. Faut vraiment être dérangés mentalement pour n’avoir que le mot « loup » et « lune » à la bouche ! C’est la seule explication. Ou pas.

Saison 2 : Le hurlement des loups

Beth était venue arracher son père des griffes d’Alek Swan, mais ce qu’elle découvre au domaine l’oblige à revoir ses priorités. Des secrets mettent en danger tous les métas de la ville. Elle doit risquer sa vie pour les sauver. Elle n’a pas le choix : c’est désormais la louve Alpha.

Avis : Cela fait partie de mes petits penchants inavouables. J’aime les loups-garous, ceux qui ont de longues dents et qui se couvrent de fourrure quand la pleine lune arrive. Et oui, c’est comme ça. Alors forcément, un Temps de lune qui croise ma route, et hop, je ne résiste pas. Parce que parfois, et j’insiste sur le « parfois » au cas où vous en douteriez, j’ai du mal à résister à la tentation…

La saison 1 pose les bases de l’intrigue. Beth est une lycéenne comme les autres, à la seule différence qu’elle vient de déménager et qu’elle est tombée dans un lycée un peu particulier. Comme beaucoup d’établissements, il possède son lot de « beaux gosses », mais ceux-là sont un tantinet bizarres, à commencer par Erwan ou Koran. Je vous laisse deviner ce qu’il en est. Beth va devoir composer très vite avec ce qu’elle est, et j’ai apprécié ce premier tome bien qu’il ait eu tendance à tomber un peu trop dans le quatuor amoureux à mon goût. Beth est un personnage qui vaut le détour, elle n’a pas sa langue dans sa poche et ses réparties sont hilarantes par moment. Qui dit plusieurs propositions dit choix, et je dois dire qu’à la fin de ce tome, son choix m’a laissée… assez déstabilisée. Mais c’était bien vu finalement. Bien sûr, sur le moment, j’ai vaguement maudit l’auteure (désolée Madame Mancellon, mais quand j’aime une histoire, j’ai tendance à me laisser un peu emporter…), mais avec un peu de recul, je dois reconnaître que c’est un choix cohérent.

La saison 2 voit son rythme s’accélérer : les évènements s’enchaînent et si les hésitations amoureuses ne sont plus, nous sommes encore dans l’heure des doutes et des interrogations. Beth a donc fait un choix, mais il entraîne des conséquences auxquelles elle n’est pas préparée. Elle doit se construire en tant qu’Alpha, découvrir celui qu’elle a choisi et tenter de sauver sa vie, enfin leur vie. Une bagatelle, en somme. Comme pour le tome 1, la fin m’a légèrement agacée. Non pas parce que je ne l’ai pas aimée, mais parce que le tome 3 n’est pas encore paru.

Ahhhh, on a déjà parlé des conséquences que cela peut avoir sur mes ongles il me semble. C’est cruel, très cruel.

Alors voilà, je vais devoir patienter… Ça va être dur…

4

Celine

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The Way of Kings by Brandon Sanderson

The Stormlight Archive, Book 1, Part 1

Synopsis: SPEAK AGAIN THE ANCIENT OATHS,

LIFE BEFORE DEATH.
STRENGTH BEFORE WEAKNESS.
JOURNEY BEFORE DESTINATION.

AND RETURN TO MEN THE SHARDS THEY ONCE BORE.

THE KNIGHTS RADIANT MUST STAND AGAIN.

Roshar is a world of stone and storms. Uncanny tempests of incredible power sweep across the rocky terrain so frequently that they have shaped ecology and civilization alike. Animals hide in shells, trees pull in branches, and grass retracts into the soilless ground. Cities are built only where the topography offers shelter.

It has been centuries since the fall of the ten consecrated orders known as the Knights Radiant, but their Shardblades and Shardplate remain: mystical swords and suits of armor that transform ordinary men into near-invincible warriors. Men trade kingdoms for Shardblades. Wars are fought for them, and won by them.

One such war is about to swallow up a soldier, a brightlord and a young woman scholar.

Widely acclaimed for his work completing Robert Jordan’s Wheel of Time saga, Brandon Sanderson now begins a grand cycle of his own, one every bit as ambitious and immersive.

Review: I should know it: Melliane is often right. I did not say all the time, eh, do not exaggerate, but when she advises a book, she is mostly in the truth. Even when it comes to fantasy. Because you see, I’m full of apriori when it comes to this genre. Not a good thing, I know that. I fear the multitude of characters who drown you, the lengthening descriptions that put you to sleep and the infinite number of pages. For the number of pages, this volume 1 of the Roshar Archives does not deviate from the rule, but as for the rest …

The gallery of characters is varied, but remains reasonable. Each chapter is devoted to one of them, whether it be Shallan who aspires to become a scholar while concealing a gloomy design, from Kaladin, the man of deck with the greatness of soul or Dalinar, the warrior who becomes wise, and assembles little by little the pieces of the narrative.

It will be extremely difficult for me to summarize this story which is really dense, my words would not do justice to its complex web. The author has been able to recreate a completely separate universe, which alternates spaces like so many jumps on a map: the library where the beautiful Shallan waits for her time while drinking her thirst for knowledge, the Broken Plains which not only see Kaladin (how I loved this character…) who tries to survive by saving his companions in misfortune, but also Dalinar, haunted by dreams that he does not understand but that seem to open a new way for The kingdom, a way that will not be easy to borrow while the opposition is that fierce.

Add to this a bestiary composed of sprens of all kinds, monsters with hearts of gems and horses who choose their rider, armor that defy the laws of what is known and weapons that appear after ten heartbeat, and you will have but a very thin idea of the richness of the narrative.

And to top it off, wealth does not rhyme with confusion: the pen is elegant, precise and at no time have I lost the thread of my reading. The almost 1000 pages of this volume 1: pouf, flees … They parade one after the other and I savored this novel as the men of deck enjoy a good meal: hungry, enthusiastic and with the desire that it Never ends.

So here I am, I have to confess. From now on, I love fantasy. It’s my banker who is not going to be happy: who says fantasy says new genre in my shelves, and that says a new kind says buying books and so a bank account not frankly delighted. QED.

5

Celine

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La Voie des rois de Brandon Sanderson

Les Archives de Roshar, Tome 1, Partie 1

Résumé : Roshar, monde de pierres et de tempêtes. Des siècles ont passé depuis la chute des Chevaliers Radieux, mais leurs avatars, des épées et des armures mystiques qui transforment des hommes ordinaires en guerriers invincibles, sont toujours là. Pour elles, les hommes s’entre-déchirent. Dans le paysage dévasté des Plaines Brisées, Kaladin, enrôlé de force, lutte dans une guerre insensée qui dure depuis dix ans, où plusieurs armées combattent séparément un unique ennemi. Dalinar Kholin, chef de l’une de ces armées, est fasciné par un texte ancien appelé La Voie des Rois. Hanté par des visions des temps anciens, il commence à douter de sa santé mentale. De l’autre côté de l’océan, la jeune et ambivalente Shallan apprend la magie, et découvre certains secrets des Chevaliers Radieux…

Avis : Je devrais le savoir : Melliane a souvent raison. Je n’ai pas dit tout le temps, hein, il ne faut pas exagérer, mais quand elle conseille un livre, elle est la plupart du temps dans le vrai. Même quand il s’agit de fantasy. Parce que voyez-vous, je suis pleine d’apriori quand il s’agit de ce genre. Pas bien, je sais. Je crains la multitude de personnages qui vous noie, les descriptions à rallonge qui vous endorment et un nombre infini de pages. Pour le nombre de pages, ce tome 1 des Archives de Roshar ne déroge pas à la règle, mais pour le reste…

La galerie de personnages est variée, mais reste raisonnable. Chaque chapitre est consacré à l’un d’entre eux, -qu’il s’agisse de Shallan qui aspire à devenir érudite tout en cachant un sombre dessein, de Kaladin, l’homme de pont à la grandeur d’âme ou de Dalinar, le guerrier qui devient sage-, et assemble petit à petit les pièces du récit.

Il va m’être extrêmement difficile de résumer cette histoire tant elle est dense, mes mots ne feraient pas justice à sa trame complexe. L’auteur a su recréer un univers complètement à part, qui alterne les espaces comme autant de sauts sur une carte : la bibliothèque où la belle Shallan attend son heure tout en abreuvant sa soif de connaissances, les Plaines Brisées qui voient non seulement Kaladin (que j’ai aimé ce personnage, un vrai coup de cœur…) tenter de survivre en sauvant ses compagnons d’infortune, mais aussi Dalinar, hanté par des rêves qu’ils ne comprend pas mais qui semblent ouvrir une nouvelle voie pour le royaume, voie qu’il ne sera pas aisé d’emprunter tant l’opposition est farouche.

Ajoutez à ceci un bestiaire composé de sprènes en tout genre, de monstres au cœur de gemmes et de chevaux qui choisissent leur cavalier, d’armures qui défient les lois de ce que l’on connait et d’armes qui apparaissent au bout de dix battements de cœur, et vous n’aurez qu’une très mince idée de la richesse du récit.

Et pour couronner le tout, richesse ne rime pas avec confusion : la plume est élégante, précise et à aucun moment je n’ai perdu le fil de ma lecture. Les presque 1000 pages de ce volume 1 : pouf, envolées… Elles ont défilé les unes après les autres et j’ai savouré ce roman comme les hommes de pont savourent un bon repas : affamée, enthousiaste et avec l’envie que ça ne se termine jamais.

Alors voilà, je dois me confesser. A partir de maintenant, j’aime la fantasy. C’est mon banquier qui ne va pas être content : qui dit fantasy dit nouveau genre dans ma bibliothèque, et qui dit nouveau genre dit livres achetés et donc compte en banque pas franchement ravi. CQFD.

5

Celine

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The Album by Ashley Pullo

Discography, Book 1

Synopsis: Every great story has a beginning, whether it’s a planned meeting, a random encounter, or an impulsive jump into the unknown. But it’s the middle of the narrative that really counts — expanding the verse and building the chorus. And this story, the one of friendship and hope, is the musical journey of the album.
Canadian cousins Chloe and Natalie LeGrange move to New York City to chase their dreams. But finding a purpose in a changing world doesn’t come easy for the best friends. Distracting themselves with humor, great music, and the spirit of Generation X, Chloe and Natalie find love and happiness when they least expect it.

Review: The Album follows the destinies of five really different characters but who will eventually meet and go a long way together.

It is quite difficult to talk about this novel because it does not fit into a specific genre. Romance? Certainly yes. Life story? Yes, too. Introspective narrative? Also. And so much more. It offers the reader several facets that can destabilize at first. That’s what happened to me. I could not see where the author wanted to go with that varied palette of characters who were given a chapter at the beginning of a novel without ever crossing each other. But why is that? What is the purpose?

And then I got caught up in the narrative game, or rather the narrative caught me in its nets. I could not let go. Once the bases are laid and the characters presented, the story began. I liked these personalities so different from each other, I liked Chloe and her mania to mark by the purchase of an album the different moments of her life, I pitied against Nathalie and her excessive freedom, Nathalie and her weaknesses, Nathalie and her love … This Nathalie finally so human, this Nathalie so endearing. I shuddered when Adam arrived, I knew that I was going to love him … I was not mistaken. A man, a real man. Not one of those shoddy males that we find in some recent romances. And Zach … Ahhh, Zach … That was the end of me. The story changed, Chloe, Nathalie, Adam, nothing could have got me off of this novel, and I savored its difference because it had the taste of the unusual.

I do not want to reveal too much for fear of spoiling your reading. I did not know what to expect, I was surprised and seduced. The author has mastered her subject and leads the narrative with captivating skills. She made me go through a range of emotions that I did not expect. This novel is the narrative of life, with its ups and downs, its joys, its sorrows, it is normal lives that it presents us, lives like mine, like yours. But it is above all the account of the happiness it offers us, and hope. A nice discovery.

4

Celine

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L’album, Face A de Ashley Pullo

L’Album, Tome 1

Résumé : L’album Face A est une histoire à la fois belle et pleine d’émotions, qui suit sur 17 ans la vie de 5 amis qui expérimenteront la vie, l’amour, des pertes et des épreuves.

Avant qu’elles ne se séparent pour aller étudier à des universités différentes, Chloé et sa cousine Nathalie font un pacte. Elles se retrouveront à New York où elles suivront leurs rêves. Des années plus tard, elles sont toutes les deux à NYC mais les choses ne se sont pas déroulées exactement comme elles l’espéraient, les laissant à la fois désenchantées mais plus déterminées que jamais à trouver un but à leur vie. Trois hommes, très différents les uns des autres, auront une influence particulière sur leurs vies.

Avis : Cette face A de l’Album suit les destinées de cinq personnages que tout séparait mais qui vont finir par se rencontrer et faire un bout de chemin ensemble.

Il est assez difficile de parler de ce roman parce qu’il ne rentre pas dans un genre précis. Romance ? Oui, certainement. Récit de vie ? Oui, également. Récit introspectif ? Aussi. Et tant d’autres choses encore. Il offre au lecteur plusieurs facettes qui peuvent déstabiliser dans un premier temps. C’est ce qui m’est arrivé. Je ne voyais pas où voulait en venir l’auteure avec cette palette variée de personnages qui se voyaient attribuer un chapitre en ce début de roman sans jamais se croiser pourtant. Mais pourquoi ? Dans quel but ?

Et puis je me suis prise au jeu du récit, ou plutôt le récit m’a prise dans ses filets. Impossible de le lâcher. Une fois les bases posées, les personnages présentés, l’histoire a commencé. J’ai savouré ces personnalités si différentes les unes des autres, j’ai aimé Chloé et sa manie de marquer par l’achat d’un album les différents moments de sa vie, j’ai pesté contre Nathalie et sa liberté excessive, Nathalie et ses faiblesses, Nathalie et son amour… Cette Nathalie tellement humaine finalement, cette Nathalie tellement attachante. J’ai frémi quand Adam est arrivé, je savais que j’allais l’aimer… Je ne me suis pas trompée. Un homme, un vrai. Pas un de ces mâles de pacotille que l’on retrouve dans certaines romances récentes. Et Zach… Ahhh, Zach… Voilà, c’en était fini de moi. La narration avait beau changer, Chloé, Nathalie, Adam, rien n’a pu me faire décrocher de ce roman, et j’ai savouré sa différence parce qu’elle avait le goût de l’inhabituel.

Je ne veux pas trop en dévoiler de peur de vous gâcher la lecture. Je ne savais pas à quoi m’attendre, j’ai été surprise et séduite. L’auteure maîtrise son sujet et mène le récit avec habilité envoutante. Elle m’a fait passer par un éventail d’émotions auquel je ne m’attendais pas. Ce roman est le récit de la vie, avec ses hauts, ses bas, ses joies, ses peines, ce sont des vies normales qu’elle nous présente, des vies comme la mienne, comme la vôtre. Mais c’est avant tout le récit du bonheur qu’elle nous offre, et de l’espoir. Une jolie découverte.

4

Celine

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