Interview – Laetitia Constant (+concours)

Nous sommes très heureuse d’accueillir Laetitia Constant sur le blog. Son roman Celle qui murmurait à l’oreille du mec en costard sort aujourd’hui chez Pygmalion (21 Juin). Merci à elle pour ses réponses.


Bonjour Laetitia et bienvenue sur notre blog, peux-tu te présenter en quelques mots ?

Bonjour et merci de m’accueillir sur le blog. Je suis Laetitia Constant, écrivain multitâches à plein temps et maman d’une pré-ado de 10 ans. Je suis caféinomane assumée, accro aux marrons glacés et au fromage sous toutes ses formes.

On te connait déjà pour ta série Aliénor McKanaghan aux Editions J’ai Lu, était-ce difficile de switcher de genre en passant de romance paranormale à comédie romantique ?

Oui et non. J’ai passé 7 ans dans l’univers d’Aliénor et me défaire de certains travers liés au fantastique a été compliqué. L’histoire manquait de têtes arrachées et de personnes aux supers pouvoirs lol. Je lis très peu de romance classique mais je regarde beaucoup de comédies romantiques. J’en ai fait une orgie pour en comprendre les codes puis je les ai appliqués. J’ai pas mal tâtonné au début, c’est pourquoi j’ai mis 1 an à la terminer. Au final, c’est un style qui me convient bien. Sans pour autant m’y cantonner, je réitérerai l’expérience

Comment t’es venue l’idée de Celle qui murmurait à l’oreille du mec en costard ?

En fait, comme pour toutes mes histoires, je n’y ai pas vraiment réfléchis. J’ai attendu que le sujet s’impose de lui-même. Je fonctionne comme ça. Je stock malgré moi des informations, des images, des sons, des sensations… et puis un jour pouf! J’ai une histoire de fond. Il ne me reste plus qu’à la travailler.

Etait-ce important pour toi d’utiliser une héroïne qui a pour métier d’être chuchoteuse pour chevaux ?

Au départ, non puisque je n’étais pas fixée sur le thème. J’ai pour principe d’écrire des choses qui me parlent d’abord à moi-même. Je passe beaucoup de temps en Gironde, dans le Médoc plus précisément, et ce roman est parti d’un souvenir personnel tiré d’une balade à cheval (je vous laisse découvrir lequel ^^). Je suis cavalière dans l’âme et j’y ai trouvé tous les ingrédients pour être autant chez moi dans ce texte que là-bas. Pour être ce que l’on appelle chuchoteur, il faut une véritable connexion avec l’animal. Une empathie naturelle. C’est directement lié à la pratique de l’équifeel. Il n’y a pas ou peu de relations de force entre le cavalier et le cheval. Ni dominant, ni dominé. Ils font équipe en se respectant l’un l’autre. Les humains ont beaucoup à apprendre des chevaux lol

Quelle a été la scène la plus difficile à écrire ?

Les passages qui comportent le plus de comédie. Ce qui me fait rire n’est pas forcément le cas pour tout le monde et il ne faut pas tomber tomber dans le grotesque ou l’humour de comptoir. Le dosage est impératif.

Est-ce un roman standalone ou est-ce qu’on aura la possibilité d’en lire plus ?

Je n’ai pas prévu de suite. Poursuivre l’histoire de Fauve et Jonathan serait inutile car même s’il y a toujours des choses à raconter, je n’aime pas tout dévoiler aux lecteurs. Pour qu’ils s’investissent dans leur lecture, je laisse une part d’ombre dans le décor. Comme ça, chacun peut y trouver son compte. Imaginer en fonction de ses envies ou de sa sensibilité personnelle ce qui arrivera ou est arrivé. Faire travailler son imagination, en quelque sorte.

Que veux-tu que tes lecteurs potentiels sachent à ton sujet ou au sujet de tes livres ?

Je crois que j’ai déjà tout dis avec mes autres réponses ^^Pour résumer, j’essaye que mes livres me ressemblent. Que ce soit dans les thèmes abordés ou la façon de les écrire. Ils ne sont pas que des objets manufacturés, ce sont des morceaux de moi-même. Je crois d’ailleurs que c’est pareil pour tous les écrivains. Peu importe le sujet, l’investissement personnel de l’auteur est considérable. Acheter un roman, c’est s’offrir un morceau de l’âme de son auteur.

Quels auteurs t’influencent ? As-tu lu un livre récemment que tu voudrais partager avec nous et es-tu trop occupée à écrire pour lire ?

Je dirais que Jamie McGuire ou Jennifer Armentrout m’ont décomplexée. Je me reconnais dans leur façon d’écrire. Leur succès m’a permis de rester moi-même. Je peux tout à fait lire en période d’écriture, j’arrive à compartimenter, mais en ce moment, je suis trop fatiguée pour garder mon rythme de lecture normale. Donc, lors de mes pauses, je végète devant des séries (gloire à Netflix!) et je lis un peu le soir.

Qu’est-ce qui dans le processus d’écriture t’intéresse le plus ? Quel est le plus amusant ?

Je crois que c’est un tout. J’ai tout de même une préférence pour la réécriture. Partir d’un brouillon et en faire quelque chose d’abouti, de propre, c’est satisfaisant. Cela me donne le sentiment de construire quelque chose. Je peux dire également que ce que je déteste le plus, ce sont les corrections. C’est un calvaire et le logiciel Antidote est source de grosses dépressions ^^

Y-a-t-il d’autres projets sur lesquels tu travailles ou penses commencer dans un future proche ?

Oui. Je travaille simultanément sur une autre romance et sur un romantic suspens.

As-tu un auteur favori ? Ou un livre ?

Pas vraiment. Mais si je devais nommer l’auteur que j’ai le plus lu ce serait Mary Higgins Clark.


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Résumé :À vingt-sept ans, Fauve est une jeune femme dynamique. Gérante d’un haras atypique niché dans la forêt landaise de Gascogne, elle y exerce avec passion le métier de chuchoteuse. Elle soigne des chevaux traumatisés, tout en donnant des cours d’équitation responsable aux enfants. C’est alors qu’une lettre de la mairie vient tout menacer : son terrain vient d’être acheté par une société immobilière qui veut l’expulser. Non, elle n’a pas tant donné pour tout perdre aussi bêtement ! Elle se rend directement au siège de cette société traîtresse… pour découvrir que l’homme à la tête du projet n’est autre qu’un odieux personnage, arrogant et coureur, qu’elle a déjà eu le malheur de rencontrer. Le voici, semble-t-il, décidé à détruire sa vie. Pour qui se prend-il ? Fauve ne se laissera pas faire ! Et la guerre est déclarée.

Merci à Pygmalion, vous pouvez gagner un exemplaire de Celle qui murmurait à l’oreille du mec en costard de Leatitia Constant. Un deuxième exemplaire est aussi à gagner sur notre page facebook ! Le concours est ouvert à la France et la Belgique. Pour participer, remplissez la forme rafflecopter ci-dessous en rentrant une adresse email ou en se connectant par facebook, puis cliquez et validez chaque choix.
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Interview Vi Keeland & Penelope Ward (+traduction)

Nous sommes heureuses d’accueillir Vi Keeland & Penolope Ward sur le blog aujourd’hui. Les deux auteures écrivent conjointement des livres et un de leurs romans Avec Toi, Malgré Moi ou encore Cocky Bastard sont sortis aux éditions Hugo Roman. Merci aux auteurs pour leurs réponses !


We are very happy to welcome Vi Keeland & Penelope Ward on the blog today. They co-write books together and some of their novels are out in France. Thanks to the authors for the answers!


Hello, can you present yourselves in a few words?

Vi:  Mom, workaholic, wanderlust.

Penelope : Creative, Sensitive and Loving

How did you get the idea of writing a book with another author?

Vi : We met when we were part of the same box set promotion.  The set had six authors, and we all became friends and started to chat together about the book world.  Eventually, the two of us found we had similar taste and started to talk outside of the group and run things by each other—cover photos, blurbs, plots etc.  One day, Penelope sent me a mock book cover with both our names on it—and we decided to give writing that book a shot.  We’ve never looked back.

Penelope : Vi Keeland and I are good friends who spoke every day before we started writing together. We never originally planned to co-write. We started a conversation one day about a fake book cover I made and started talking about what the story might be about. That was how Cocky Bastard started.

What is your process? Is it difficult sometimes?

Vi : Not at all!  We have a great time doing it and find it easier than writing most of our solo books.  Our process if very unstructured, but works for us. We come up with a general plot and a feel for both characters, but we don’t have a formal outline or anything.  We basically pass a word document back and forth every few days, and we both write both characters.  Sometimes we write two chapters and pass it back at the start of a new chapter, and other times we will leave off in the middle of a chapter.   It’s fun because we never know what direction the other is going to take the story in, and we look forward to reading what each other came up with!

Penelope : There can be days when you don’t have the ideas flowing, but overall I try to outline my story first. The same goes for my books that are cowritten. We try to plan the main parts of the story first so we have a map to use when writing.

Do you have the whole idea of the book at once or does the inspiration come as you’re writing it?

Vi :We talk about the general idea of the book—the characters, their issues and the twist.  But the individual scenes are developed by each of us as we go.  It’s what makes co-writing so much fun—we are part reader, being surprised when we received back a new scene, and part writer.

Penelope : It starts with an idea and the main plot points are determined ahead of time. But inspiration for specific dialog and circumstances and really the chemistry of the characters develops organically as you go along.

Does the inspiration for the characters come from people you know?

Vi :There are always elements of people from my real life in my characters, but none of them are specifically modeled on a particular person.  Often it’s fears or silly habits that find their way into books, sometimes my own!

Penelope : Definitely not. My characters are all figments of my imagination that come from the there and develop there and stay there. 🙂

What kind of books do you read? Do you read other books when you are writing? Or not for fear of being influenced?

Vi : I primarily read romance and rarely read out of genre anymore.  I definitely avoid reading other books while writing so that I don’t influence my characters from anywhere except my own mind.

Penelope : I actually don’t read while I am writing. I am usually writing two books at a time (I split up the week between my solo book and my co-written book), so to enter a third literary world as a reader becomes too confusing. It’s hard for my brain to relax and just enjoy the story. If I am on a short break from writing, I only read other contemporary romances and love to get lost in them.

Between all the books you wrote, who is your favorite character and why?

Vi : From my solo books—Drew and Emerie from Egomanic stole a piece of my heart.  I miss them immensely.  Out of our co-written books, Soraya from Stuck-Up Suit is my favorite heroine–I loved her sass.  And probably Chance from Cocky Bastard is my favorite hero—although Carter from Playboy Pilot is really a close second.

Penelope : Damien from Neighbor Dearest (which is not published in France yet, but will be in the future) is my favorite male character because of his humor, creativity and protective nature. I also love love love Soraya from Avec Toi Malgre Moi (Stuck-Up Suit) as my favorite heroine because she is so funny and feisty. 

Do you plan to try another genre?

Vi : I’ve thought about it!  But anything that I do would need to be close to romance—perhaps women’s fiction, but never something such as science fiction for me!

Penelope : I think I will stick to Contemporary Romance. I love writing about love and anything else wouldn’t come with the same passion.

Have you ever been in France? Do you plan to?

Vi:  Yes.  I’ve been to Paris and absolutely loved it.  I am planning on returning this year for the Romance Festival in the fall.  And I can’t wait.

Penelope : I am deathly afraid of flying. It’s the only reason I have not visited your beautiful country thus far.

Are there any other projects you’re working on or thinking about starting in the near future?

Vi : I’ve already released two books this year in the U.S., but plan to release four—two solo books and two co-writes.  We released our fourth co-written books two weeks ago– Mister Moneybags, and I released Egomaniac in January.  I’m also currently working on a solo book to be released this summer in the U.S. and we are writing another co-written book as well.  

Penelope : I am always writing as I am now a full-time author. My most recent release in the U.S. was Mack Daddy, about a single father who comes back for a second chance at love with his son’s teacher and also the co-written Mister Moneybags with Vi Keeland. I am writing a new standalone that will release in the U.S. in August that is currently untitled but that also has a second chance element. And there will also be more cowritten books with Vi Keeland in the future as well. 


Bonjour, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Vi: Mère, acharnée de travail, qui a l’esprit d’aventure. 

Penelope : Créative, sensible, aimante.

Comment vous est venue l’idée d’écrire un livre avec un autre auteur ?

Vi : Nous nous sommes rencontrées quand nous faisions partie de la même boite de promotion. La collection comptait 6 auteurs et nous sommes tous devenus amis et nous avons commencé à parler ensemble du monde du livre. Finalement, nous nous sommes rendues compte que nous avions toutes les deux des goûts similaires et nous avons commencé à parler à part du groupe et à gérer les photos de couvertures, résumés, intrigues etc… Un jour, Penelope m’a envoyé une maquette de couverture avec nos deux noms dessus et nous avons décidé d’écrire ce livre. Nous n’avons jamais regardé en arrière.

Penelope : Vi Keeland et moi étions de bonnes amies qui se parlaient tous les jours avant de commencer à écrire ensemble. Nous n’avions jamais pensé co-écrire. Nous avons commencé une conversation un jour au sujet d’une fausse couverture que j’avais faite et de ce que l’histoire pourrait être. C’est comme cela que Cocky Bastard a commencé.

Quel est votre procédé ? Est-ce difficile parfois ?

Vi : Pas du tout ! Nous passons toujours de très bons moments et je trouve que c’est plus facile que la plupart de nos livres solo. Notre procédé, même s’il n’est pas structuré, marche bien pour nous. On amène une intrigue générale et une idée pour les deux personnages, mais nous n’avons pas un réel schéma ou autre. On se renvoie généralement un document word après quelques jours, et nous écrivons chacune les deux personnages. Parfois nous en écrivons deux chapitres et on laisse le chapitre d’après à l’autre, et d’autres fois on s’arrête en plein milieu d’un chapitre. C’est sympa parce qu’on ne sait jamais quelle direction l’autre va prendre pour l’histoire et nous attendons de lire ce que l’autre a prévu !

Penelope : Il peut y avoir des jours où c’est difficile d’avoir des idées, mais généralement j’essaie de prévoir mon histoire en premier. C’est la même chose pour les livres que je co-écris. Nous essayons de prévoir les grosses parties de l’histoire pour avoir un plan quand nous écrivons.

Avez-vous l’idée générale du livre dès le début ou est-ce que l’inspiration vient pendant l’écriture ?

Vi : Nous parlons de l’idée générale du livre – les personnages, leurs problèmes, le retournement de situation. Mais les scènes individuelles sont développées par chacune d’entre nous quand nous avançons. C’est ce qui fait de la co-écriture quelque chose de sympa – Nous sommes en partie lecteur, en étant surpris quand nous recevons une nouvelle scène et en partie écrivain.

Penelope : Ca commence avec une idée et les points de l’intrigue principale sont déterminés à l’avance. Mais l’inspiration pour des dialogues spécifiques, des circonstances et la chimie entre les personnages se développent petit à petit.

L’inspiration de vos personnages vient-elle de personnes que vous connaissez ?

Vi : Il y a toujours des éléments de personnes que je connais dans mes personnages mais aucun d’entre eux n’est fait à partir d’une personne en particulier. C’est souvent des peurs, ou des habitudes idiotes qui trouvent leur chemin dans mes livres, parfois même les miennes !

Penelope : Non. Mes personnages sont tous des fragments de mon imagination qui viennent de là, s’y développent et y restent. 🙂

Quels genres de livres lisez-vous ? Lisez-vous d’autres livres pendant que vous écrivez ? Ou l’évitez-vous de peur d’être influencées ?

Vi : Je lis principalement de la romance et rarement autre chose. J’évite de lire d’autres romans quand j’écris pour ne pas influencer mes personnages.

Penelope : Je ne lis pas pendant que j’écris. J’écris souvent deux livres à la fois (je partage la semaine entre mon livre solo et co-écrit), alors ajouter un troisième monde littéraire en tant que lecture deviendrait trop confus. C’est difficile pour mon cerveau de se reposer et d’apprécier uniquement l’histoire. Si je suis dans une petite pause, je lis uniquement d’autres romances contemporaines et j’adore me perdre dedans.

Entre tous les livres que vous avez écrits, qui serait votre personnage préféré et pourquoi ?

Vi : De mes livres solo – Drew et Emerie de Egomanic m’ont volé une partie de mon coeur. Ils me manquent beaucoup. De mes livres co-écrits, Soraya de Avec Toi Malgré Moi est mon héroïne préférée – j’adore son impertinence. Et probablement Chance de Cocky Bastard pour mon héros préféré bien que Carter de Playboy Pilot soit très proche en tant que second choix.

Penelope : Damien de Neighbor Dearest (qui n’est pas encore publié en France mais qui le sera dans le futur) est mon personnage mâle préféré à cause de son humour, sa créativité et sa nature protectrice. J’adore aussi beaucoup Soraya de Avec Toi Malgré Moi comme héroïne préférée parce qu’elle est vraiment drôle et fougueuse.

Est-ce que vous pensez essayer un autre genre ?

Vi : J’y ai pensé ! Mais quelque chose qui devrait être proche de la romance – peut-être une fiction féminine, mais rien qui ne soit comme de la science-fiction pour moi !

Penelope : Je pense que je resterai avec la romance contemporaine. J’adore écrire sur l’amour et tout le reste ne viendrait pas avec la même passion.

Etes- vous déjà venues en France ? Pensez-vous le faire ?

Vi: Oui. Je suis venue à Paris et j’ai vraiment adoré. Je suis en train de m’organiser pour revenir cette année pour Festival Romance cet automne. J’ai hâte !

Penelope : J’ai très peur de voler. C’est la seule raison pour laquelle je n’ai pas encore visité votre joli pays.

Y-a-t-il d’autres projets sur lesquels vous travaillez ou que vous pensez commencer dans un future proche ?

Vi : j’ai déjà sorti deux livres cette année aux US, mais j’espère en sortir 4 – deux solos et deux co-écrits. Nous avons sorti notre quatrième livre co-écrit il y a deux semaines – Mister Moneybags et Egomaniac en Janvier. Je suis en train de travailler sur un livre solo pour qu’il sorte cet été aux US et nous sommes aussi en train d’écrire un co-écrit.

Penelope : Je suis toujours en train d’écrire comme je suis auteure à plein temps. Mon livre le plus récent sorti aux US est Mack Daddy, sur un père célibataire qui a une seconde chance en amour avec le professeur de son fils et un co-écrit Mister Moneybags avec Vi Keeland. Je suis en train d’écrire un standalone qui sortira aux US en Août qui est pour le moment sans titre mais qui aura des éléments de seconde chance. Et il y a aussi un autre co-écrit avec Vi Keeland de prévu.

 

Résumé : Le début de la relation de Soraya et Graham est un peu chaotique : il ne lui a pas fait très bonne impression. Elle le trouve désagréable et arrogant, un homme d’affaires typique, tout ce qu’elle n’aime pas. Et quand elle va lui rapporter son téléphone qu’il a perdu dans le train, après avoir
soigneusement exploré ses données personnelles, elle va constater qu’elle ne s’est pas trompée.

Ou peut-être que si.
Peut-être que Graham est plus que ce qu’elle a découvert ce matin-là. Ou alors peut-être que leurs différences les rapprochent.

Mais ni l’un ni l’autre ne veut que leur relation commencée de si étrange façon s’arrête.

 

Interview: CJ Roberts (+traduction)

Welcome to C.J. Roberts the author of the Dark Duet series! Thanks to her for her answers!


Bienvenue à C.J. Roberts l’auteure de la série Dark Duet sortie en Français chez Pygmalion. Merci à elle pour avoir répondu à nos questions.


Welcome on Between Dreams and Reality, can you present yourself in a few words?

Overworked procrastinator with a perverted imagination and delusions of grandeur. I think that about sums me up for better or worse.

What can you tell us but The Dark Duet series? What is it about?

I’ve answered this question many times over the years, and each time I discover something new about my reasons. Looking back on it today and the young woman I was when I started writing it, I think the story is more personal than I previously let on. I was young, naïve, and very frightened of the world evolving around me. In many ways, the story was me exploring my fears and desires in a safe and fictional environment.

What would you most like potential readers to know about you and/or your books?

They are welcome to NOT to like them.  I write fiction and I write it for myself, for whatever thing I am trying to learn about myself or the world. All of my characters are flawed because there is something I find beautiful about the fragments we, as humans, reshape ourselves around. I tend to be a very free thinker which is good, but also problematic because there are never any easy answers for me to find. Writing is a way to push myself to see things from perspectives I wouldn’t otherwise consider. It’s a lofty goal because I have no illusions about a being a great literary writer. I write things to titillate, but I do what I can to also learn and push others to think, especially about topics where they fundamentally believe they have a moral or ethical absolute.

You write dark novels, is it something difficult to do? Is there another genre you would like to try?

It’s easy to write in the sense that terrifying thoughts come to me regularly. I have an anxiety disorder. But it’s also very difficult for the same reason. For me, every day is a struggle for internal peace and focus. There are days when simply the thought of opening my laptop floods me with panic. That said, I wish I felt capable to writing other genres, but I don’t think it is my gift. I am especially fond of sci-fi, paranormal, and action.

Captive in The Dark became very popular, did you expect that?

No. I never expected to publish it. Writing has always been a personal thing, something I do to exorcise my inner wanton demons.  I wrote Captive over the course of several years and shared it with only my closest friends until I was out of the military. After the military, I could not find work, I had no friends who lived near me, and I had begun to feel rather worthless. I spent my time working on my story and when I finished it, my close friends encouraged me to publish it.

It was rejected many, many, many times, and each time I felt more worthless than before. I published as an independent as a last resort (back then indie authors were considered ‘vanity press’ and looked down on).

The fans made it popular. I owe it all to them. Well, them, and Colleen Hoover who was already mega famous when she decided to read my book and actually tell people.

If you could meet any characters in your book, who would it be and why?

I would hope to never meet any of my characters. I have done too much to them and as their creator; I would be hard pressed to give them any good answers as to why they had to suffer. Whenever I think about God, I have pity, because God may not even be aware of what God is, and how we all suffer from this lack of knowledge.

Have you ever been in France? Did you meet with your French fans?

Yes, I had the opportunity to visit France this past July and attend a reception with my publisher, Pygmalion. The experience is one I will treasure forever. While I was there I learned how I came to be published in France, and the story had me in tears. Apparently, many French readers had read the book in English and began campaigning on my behalf to several publishers to purchase the rights. Fanny, my host, had heard about it at her former publishing house before transferring to Pygmalion, and was happy to hear they had picked up the title.

They put my book on the side of a bus! I saw my book on shelves in the bookstores of Paris! I am not on bookshelves in America, but I am in France.

It was everything and I am eternally grateful.

Have you already other plans for future series? Or is it top secret?

The last few years have been difficult for a host of personal and professional reasons. I am struggling with my anxiety more than ever. But…I am writing. It’s very dark, highly inappropriate, and will probably be banned the moment I try to publish it, but I am writing. At this time, I don’t have a tentative release date.

Do you have a favorite author? Or a favorite book?

I always hate this question. It’s too hard!!! But here are some authors I love (in alphabetical order):

Aleatha Romig

Anais Nin

Anne Rice

A.R. Torre

Belinda McBride

Bisco Hatori

Colleen Hoover

Eden Bradley

J. Sterling

J.R. Ward

Jodi Ellen Malpas

Kaia Bennett

Karen Marie Moning

Karina Halle

Kitty Thomas

Kresley Cole

Marie Sexton

Pam Godwin

Pepper Winters

Poppy Z. Brite

Raine Miller

T.M. Frazier

Tara Sivec

Tarryn Fisher

Tracey Garvis Graves

Yana Toboso


 

Bienvenue sur Between Dreams and Reality, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Procrastinatrice overbookée avec une imagination perverse avec la folie des grandeurs. Je pense que ça me résume pour le meilleur ou le pire.

Pouvez-vous nous en dire plus sur la série The Dark Duet ? De quoi s’agit-il ?

J’ai répondu à cette question plusieurs fois à travers les années, et chaque fois je découvre quelque chose de nouveau. En regardant en arrière aujourd’hui, et en pensant à la femme que j’étais quand j’ai commencé, je crois que l’histoire est plus personnelle que je le pensais. J’étais jeune, naïve, et effrayée par le monde qui m’entourait. Sous plusieurs aspects, l’histoire révèle mon exploration de mes peurs et désirs dans un environnement sécurisé et fictif

Que voudriez-vous que vos potentiels lecteurs sachent au sujet de vos livres ou de vous ?

Ils peuvent ne pas les aimer. J’écris de la fiction et j’écris pour moi, pour les choses que j’essaie d’apprendre sur moi-même et sur le monde. Tous mes personnages ont des défauts parce qu’il y a quelque chose que je trouve beau au sujet des fragments, qui, en tant qu’humains, nous transforme. Je suis une penseuse libre, ce qui est bien, mais aussi problématique parce qu’il n’y a jamais de réponses faciles à trouver. Ecrire est un moyen de me pousser à voir les choses d’une perspective que je n’aurais pas envisagée. C’est un but difficile parce que je n’ai pas d’illusions sur le fait d’être un très bon écrivain littéraire. J’écris des choses qui titillent, mais je le fais pour apprendre et pousser les autres à réflechir, surtout sur des sujets pour lesquels ils pensent avoir une morale ou une éthique absolue.

Vous écrivez des romans noirs, est-ce difficile à faire ? Y-a-t-il un autre genre que vous voudriez essayer ?

 C’est facile d’écrire dans le sens où des pensées terrifiantes me viennent régulièrement. J’ai un trouble de l’anxiété. Mais c’est aussi difficile pour la même raison. Pour moi, chaque jour est un combat pour un focus et une paix intérieure. Il y a des jours où le fait d’ouvrir simplement mon ordinateur me fait paniquer. Cela dit, j’espère être capable d’écrire d’autres genres, mais je ne pense pas que c’est ce soit mon don. J’aime particulièrement la science-fiction, le paranormal et l’action.

Captive in The Dark est devenu très populaire, vous y attendiez-vous ?

Non. Je ne pensais pas le publier. Ecrire a toujours été personnel, quelque chose pour exorciser mes propres démons. J’ai écrit Captive pendant plusieurs années et je l’ai uniquement partagé avec mes amis proches jusqu’à ce que j’arrête l’armée. Après l’armée, je ne parvenais pas à trouver du travail, et je n’avais pas d’amis qui habitaient près, et j’ai commencé à me sentir inutile. J’ai passé du temps à travailler sur mon histoire et quand je l’ai finie, mes amis proches m’ont encouragée à le publier.

 J’ai été rejetée beaucoup, beaucoup, beaucoup de fois, et chaque fois je me sentais encore plus inutile que la fois précédente. Je l’ai publiés en tant qu’indépendant en dernier recourt (quand les auteurs indies étaient considérés comme une « vanité » et regardés de haut).

Les fans l’ont rendue populaire. Je leur dois tout. Enfin, eux et Colleen Hoover qui était déjà très célèbre quand elle a décidé de lire mon livre et d’en parler aux gens.

Si vous pouviez rencontrer un personnage de vos livres, qui serait-ceet pourquoi ? 

J’espère ne jamais rencontrer mes personnages. Je leur ai fait traverser trop de choses, en tant que leur créatrice ; ce serait difficile de leur donner de bonnes réponses quand ils me demanderaient pourquoi ils devaient souffrir. A chaque fois que je pense à Dieu, j’ai pitié, parce que Dieu n’est peut-être pas au courant de ce qu’un Dieu est, et de la manière dont nous souffrons de ce manque de savoir.

 Etes-vous déjà venue en France ? Avez-vous rencontré vos fans Français ?

Oui, j’ai eu l’opportunité de venir en France en Juillet dernier et de participer à une réception de mon éditeur, Pygmalion. C’est une expérience que je chérirai toujours. Quand j’étais là, j’ai appris pourquoi j’avais été publiée en France et l’histoire m’a fait pleurer. Apparement, plusieurs lecteurs Français avaient lu mon livre en anglais et ont commencé à faire campagne pour moi vers plusieurs éditeurs pour qu’ils achètent les droits. Fanny, mon hôte, a appris cela à son ancienne maison d’édition avant d’être transférée à Pygmalion, et était heureuse de savoir qu’ils avaient choisi le titre. 

 Ils ont mis mon livre sur le côté d’un bus ! J’ai vu mon livre sur les étagères des librairies de Paris ! Je ne suis pas sur les étagères en Amérique, mais je le suis en France.

C’était tout, et je suis éternellement reconnaissante.

Avez-vous d’autres plans pour une future série ? Ou est-ce top secret ? 

 Les dernières années ont été difficiles personnellement et professionnellement. Je combats mon anxiété plus que jamais. Mais… j’écris. C’est très noir, complètement inapproprié, et sera sûrement banni quand j’essaierai de le publier, mais je l’écris. En ce moment, je n’ai pas de dates.  

Avez-vous un auteur préféré ? Ou un livre préféré ?

Je déteste toujours cette question. C’est trop dur !!! Mais voilà quelques auteurs que j’adore (par ordre alphabétique) :

Aleatha Romig

Anais Nin

Anne Rice

A.R. Torre

Belinda McBride

Bisco Hatori

Colleen Hoover

Eden Bradley

J. Sterling

J.R. Ward

Jodi Ellen Malpas

Kaia Bennett

Karen Marie Moning

Karina Halle

Kitty Thomas

Kresley Cole

Marie Sexton

Pam Godwin

Pepper Winters

Poppy Z. Brite

Raine Miller

T.M. Frazier

Tara Sivec

Tarryn Fisher

Tracey Garvis Graves

Yana Toboso

 

Website: http://www.aboutcjroberts.com

Captive in the Dark (The Dark Duet, 1) – C.J. Roberts

Synopsis: Caleb is a man with a singular interest in revenge. Kidnapped as a young boy and sold into slavery by a power-hungry mobster, he has thought of nothing but vengeance. For twelve years he has immersed himself in the world of pleasure slaves searching for the one man he holds ultimately responsible. Finally, the architect of his suffering has emerged with a new identity, but not a new nature. If Caleb is to get close enough to strike, he must become the very thing he abhors and kidnap a beautiful girl to train her to be all that he once was.

Eighteen-year-old Olivia Ruiz has just woken up in a strange place. Blindfolded and bound, there is only a calm male voice to welcome her. His name is Caleb, though he demands to be called Master. Olivia is young, beautiful, naïve and willful to a fault. She has a dark sensuality that cannot be hidden or denied, though she tries to accomplish both. Although she is frightened by the strong, sadistic, and arrogant man who holds her prisoner, what keeps Olivia awake in the dark is her unwelcome attraction to him.

WARNING: This book contains very disturbing situations, dubious consent, strong language, and graphic violence.

Guest Post: Jess Haines (+concours/Giveaway)

Welcome to Jess Haines the author of the H&W Investigations and the Blackhollow Academy series. Thanks to her for this great post!


Bienvenie à Jess Haines l’auteure de la série Waynest (parue chez Milady) et de la série Blackhollow Academy. Merci à elle pour ce post.


Dragons: One of My Favorite Things

By Jess Haines

Hello there!  Jess Haines here.  You might know me as the author of the H&W Investigations series—urban fantasy novels about Shiarra Waynest, a human private investigator in an alternate, present-day New York. Somehow she keeps getting pulled into supernatural troubles way above her pay grade… I also have a new series called Blackhollow Academy that follows the adventures of young magi (think wizards) who are on the hunt for their first familiars.

I’m guessing since you’re here, you like urban fantasy, and possibly some paranormal romance, too. One of my favorite aspects of writing urban fantasy is how you can vary all over the spectrum, from a touch of science fiction to full blown fantasy, while keeping everything in a modern setting.

One of my favorite paranormal creatures to both read and write about is dragons. I know I’m better known for playing in the vampire and werewolf sandbox, but from the time I was a kid, dragons have always fascinated me.

It’s not the treasure. It’s not the ferocious nature. It’s being wise and powerful and mysterious. It’s being king of land, sky, and all they survey.

It’s being a force of nature—one to be reckoned with.

There are some great takes on dragons out there, and whether you prefer the science fiction flavor of Anne McCaffrey, the high fantasy adventure of DragonLance, or the melt-your-panties fantasy-fueled sexiness of Thea Harrison, it’s always fun to see different takes on dragons in fiction.

Since this is a blog devoted to the love of reading and sharing thoughts about books, I thought I might share some of my favorite dragon books with you:

THE ELVENBANE by Mercedes Lackey and Andre Norton: A truly epic fantasy that I believe should be a staple in the library of anyone who enjoys high fantasy that involves dragons. In a world ruled by the decadent, merciless elves, run by enslaved humans, it is prophesized that a halfblood will rise and overthrow the elven regime. The halfblood—raised by dragons.

THE LEGEND OF HUMA by Richard A. Knaak: This is a tragic love story between a silver dragon and a knight. While I might be wearing rose-colored glasses where this book is concerned, I still cherish the worn, time-weathered copy I have had since I was a teenager and like to reread it on occasion. It’s classic high fantasy, and a great introduction to the world of Krynn. I recommend it if you like high fantasy material (Lord of the Rings, Game of Thrones) that is a fast read, more along the lines of modern urban fantasy.

DRAGONSONG and DRAGONSINGER by Anne McCaffrey: These books are just lovely. While they do provide a poignant look at the emotional abuse that can be heaped on an artist by family who just don’t understand, it’s a glorious adventure about finding your people—the ones who do love you for who you are and support your endeavors unconditionally. While most of the “dragons” in these books are tiny, they are still powerful friends to have, and make it so much easier to fall in love with the world of Pern that Ms. McCaffrey created.

The Enchanted Forest Chronicles (Series) by Patricia C. Wrede: Okay, I know this isn’t one book, but the whole thing is just fabulous. If you ever got tired of reading about princesses who sit around waiting to be rescued, you will find this a delightful breath of fresh air. It’s a middle grade/young adult series about a princess who is tired of the nonsense about manners and balls and arranged marriages to dull boors, so she sets off on her own adventures and becomes a dragon’s princess. Her attitude and attempts to blow off the knights and princes who attempt to rescue her are hilarious, and I always love to recommend this series, no matter the reader’s age.

Have you read any of those books? My social media contact information is below—let me know if you want to fangirl over some of them with me. Before I go, I do want to throw out a mention of my latest release, SMOKE AND MIRRORS, which involves magic, a whopper of a lie, and—my favorite—a dragon!

Please feel free to visit and chat with me on the web:

www.JessHaines.com

Facebook: http://www.facebook.com/JessHainesAuthor

Twitter: http://twitter.com/#!/Jess_Haines

Goodreads: http://www.goodreads.com/jesshaines

Thanks again for having me!


Dragons : Une de mes choses préférées

De Jess Haines

Bonjour à tous ! C’est Jess Haines. Vous me connaissez comme l’auteure de la série Waynest – des romans d’urban fantasy sur Shiarra Waynest, une détective humaine dans un New-York parallèle. D’une manière ou d’une autre, elle se retrouve dans des ennuis surnaturels qui vont bien au-delà de son salaire… J’ai aussi une nouvelle série appelée Blackhollow Academy qui suit les aventures de jeunes magi (pensez sorciers) qui sont à la recherche de leurs premiers familiers.

Je pense que si vous êtes ici, c’est que vous aimez l’urban fantasy, et probablement la romance paranormale aussi. La chose que je préfère dans l’écriture d’urban fantasy, ce sont toutes les possibilités que vous avez, avec une touche de science-fiction à une grosse partie de fantasy, tout en gardant un univers moderne.

Une de mes créatures paranormales préférées à lire et à écrire reste les dragons. Je sais que je suis plus connue pour jouer avec les vampires et les loups-garous, mais quand j’étais enfant, les dragons me fascinaient.

Ce n’est pas à cause du trésor. Ce n’est pas à cause de nature féroce. C’est à cause de leur façon d’être intelligent, puissant et mystérieux. C’est parce qu’ils sont les rois de la terre, du ciel et de tout ce qu’ils survolent.

C’est parce qu’ils sont une force de la nature – une sur laquelle il faut compter.

Il y a beaucoup de choix sur les dragons ici, et quoi que vous préférerez, un gout de science-fiction avec Anne McCaffrey, de la fantasy avec DragonLance, ou un mélange qui fera-fondre-vos-sous-vêtements de Thea Harrison, c’est toujours amusant de voir les différences dans les fictions de dragons.

Comme c’est un blog consacré à l’amour de la lecture et du partage, je me suis dis que je pouvais partager quelques-uns de mes livres préférés sur les dragons avec vous :

THE ELVENBANE de Mercedes Lackey et Andre Norton: Une vraie fantasy épique qui, je pense, pourrait être une très bonne acquisition pour tous ceux qui aiment la fantasy avec des dragons. Dans un monde gouverné par les elfes décadents et sans merci, exécuté par des esclaves humains, il a été prédit que les sans-mêlés prendront la place du régime elfique. Les sans-mêlés – élevés par les dragons.

THE LEGEND OF HUMA de Richard A. Knaak: C’est une histoire tragique d’amour entre un dragon argenté et un chevalier. Alors que je pourrais porter des lunettes roses quand il s’agit de ce livre, je le chérie même s’il est usé étant donné que je l’ai depuis mon adolescence et que je le relis à l’occasion. C’est un classique de la fantasy, et une grande introduction au monde de Krynn. Je le recommande si vous aimez la fantasy (Lord of the Rings, Game of Thrones) qui se lit rapidement, à la limite de l’urban fantasy moderne.

DRAGONSONG et DRAGONSINGER de Anne McCaffrey: Ces livres sont très sympas. S’ils proposent un côté poignant sur les abus émotionnels qui peuvent arriver à un artiste à cause de sa famille qui ne le comprend pas, c’est une glorieuse aventure pour retrouver les siens  – ceux qui vous aiment le plus, pour qui vous êtes et qui vous soutient dans tout ce que vous entreprenez. Même si les « dragons » de ce roman sont assez petits, ce sont toujours des amis puissants à avoir, et ils nous font tomber amoureux si facilement du monde de Pern que Ms. McCaffrey a créé.

The Enchanted Forest Chronicles (Serie) de Patricia C. Wrede: Okay, je sais que ce n’est pas un livre, mais l’ensemble est fabuleux. Si vous êtes fatigués de lire des histoires au sujet de princesses qui s’assoient et qui attendent d’être sauvées, ce sera une bouffée d’air frais. C’est une série jeune/ado au sujet d’une princesse qui est fatiguée de tout ce non-sens au sujet des manières, des bals et des mariages arrangés, alors elle créée ses propres aventures et devient la princesse d’un dragon. Son attitude et ses tentatives pour chasser les chevaliers et les princes qui veulent la sauver sont hilarantes, et j’adore recommander cette série, peu importe l’âge du lecteur. 

Avez-vous lu ces livres ? Mes informations pour me contacter sont ci-dessous – faites-moi savoir si vous êtes fan comme moi. Avant de vous laissez, j’aimerais mentionner ma dernière publication SMOKE AND MIRRORS, qui inclue de la magie, un gros mensonge, et mon préféré – un dragon !

N’hésitez pas à passer me voir et discuter avec moi sur le web :

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Twitter: http://twitter.com/#!/Jess_Haines 

Goodreads: http://www.goodreads.com/jesshaines

Merci encore de l’invitation.


Smoke and Mirror (Blackhollow Academy, 1) – Jess Haines

Synopsis: A girl who uses her illusions to fool the world into thinking she’s just like all the other magi.

A dragon who sees through her lies.

Together they just might survive a world that wants to control or destroy them both.

Kimberly may wield ultimate cosmic power, but even a mage has to pay the rent. No one will hire her for her magic talents until she’s got the credentials, so she’s stuck in a crappy rent controlled apartment with her mother, yearning for treats she can’t afford at her part time job in a café, counting down the days until she graduates the secret Blackhollow Academy school for magi. Only then will she have the certificate she needs to land her dream job in a coven.

The problem? She needs a familiar to graduate.

As an illusionist, she doesn’t have the ability to summon or create a familiar of her own. Her only option is to convince a supernatural creature to let her bind it instead. Since having a powerful Other at her beck and call would guarantee her a place in a coven after she graduates—and legendary treasure hoards are an added bonus—she thinks binding a dragon as her familiar will solve all her problems…

Because sometimes a girl needs a dragon, not a knight….

Vous pouvez gagner un exemplaire en Français de Traquée (Waynest, 1)  de Jess Haines ou un exemplaire VO de Smoke & Mirrors. You can win a French copy of Hunted by the Others or an original signed copy of Smoke & Mirror.

 
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Guest Post: A Talent For Trickery by Alissa Johnson + Giveaway

Guest Post:

5 Things To Remember When Writing About the Victorian Era

I’m delighted to introduce A Talent for Trickery, the first book in my new Victorian-set “Thief-takers” series. Our hero, Private Investigator Owen Renderwell, is on the hunt for a thief and murderer. And he knows just how to catch his man. All he needs is a little help from our heroine, Miss Charlotte Walker-Bales. The daughter of an infamous confidence man, Lottie is in a unique position to offer insight into the mind and motives of a hardened criminal. There’s just one flaw in Owen’s otherwise excellent plan. Lottie hasn’t spoken to him in eight years. She has no interest in working alongside a man of the law, and certainly not the one who betrayed her trust, endangered her family, and broke her heart.

To celebrate A Talent for Trickery’s time period, I’ve compiled a list of five things to remember while writing about the Victorian era.

1. It spanned about 64 years and was a time of constant change. Even a year or two can mean the difference between bathing your characters in candlelight, gaslight, or electricity. Or dressing your heroine in petticoats, hoop skirt, crinolette, or bustle.

2. And on the topic of lady’s fashion…“Tight-lacing,” or the practice of cinching one’s corset to produce a 16 inch waist à la Scarlett O’Hara was rare. Most women did not go to such extreme lengths to gain an hourglass figure.

3. Some of the newest innovations, amenities and improvements were a long time coming for those in rural areas. London established a dedicated police force in 1829. It took decades more, however, for many country villages to expand their police force beyond a single, often underpaid and ill-qualified constable.

4. It was a time of great social upheaval. Power and wealth began to shift away from landowners to industrialists, and the middle-class started to thrive. A duke was still a duke, of course, but by the latter half of the 19th century, he had a lot less money and weight to throw around.

5. Morality was everything. In a lot of ways, the Victorian era was a backlash for some of the excesses of the regency era. At least on the surface. Men and women still cavorted and caroused (STDs were, sadly, rampant) but folks did their best to keep even the hint of naughtiness under wraps.

A Talent for Trickery

Author: Alissa Johnson

Release Date: November 3, 2015

Publisher: Sourcebooks Casablanca

Genre: Historical Romance

Series: The Thief-takers, Book 1

Synopsis: The Lady is a Thief

Years ago, Owen Renderwell earned acclaim-and a title-for the dashing rescue of a kidnapped duchess. But only a select few knew that Scotland Yard’s most famous detective was working alongside London’s most infamous thief…and his criminally brilliant daughter, Charlotte Walker.

Lottie was like no other woman in Victorian England. She challenged him. She dazzled him. She questioned everything he believed and everything he was, and he has never wanted anyone more. And then he lost her.

Now a private detective on the trail of a murderer, Owen has stormed back into Lottie’s life. She knows that no matter what they may pretend, he will always be a man of the law and she a criminal. Yet whenever he’s near, Owen has a way of making things complicated…and long for a future that can never be theirs.

 

Buy Links

Amazon: http://bit.ly/AmazonTalentTrickery

Barnes and Noble: http://bit.ly/BNTalentTrickery

Sourcebooks: http://www.sourcebooks.com/store/talent-for-trickery.html

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Guest post: Stop at Nothing by Kate Serine (+Giveaway)

Top 10 favorite things about Writing Romantic Suspense

I’m so excited to be launching my first Romantic Suspense series with Stop at Nothing (Protect & Serve #1). I’m having a great time hanging out with the Dawson brothers and telling their stories as they try to find their way in life and in love. Here are just a few reasons why I really enjoy writing in this genre:

  • Action! Writing an edge-of-your-seat action scene is exhilarating. Bring it on!
  • Suspense, suspense, suspense. I absolutely love the process of building suspense in my stories!
  • Danger makes the romance more intense. Writing this kind of high-intensity romance is oh so much fun.
  • Battling the evil that might be lurking next door. Personally, I can handle things that go bump in the night. But the unknown and unpredictable danger that surrounds us every day scares the hell out of me.
  • Plots tend to be both plot-driven and character-driven simultaneously, so I can really dig deep as an author to develop both.
  • I’m a sucker for a complex, detestable villain.
  • Strong, kickass characters who are equals and rescue each other, both physically and emotionally.
  • The opportunity to show heroism and to celebrate the true heroes (police, military, EMTs, etc.) who put their lives on the line to help others.
  • A lot of the characteristics I love about Romantic Suspense are also present in action/adventure, thrillers, mysteries, etc. But with writing Romantic Suspense, I can still give my characters a happily ever after. 🙂
  • I love to read Romantic Suspense—now I get to write it! 🙂

 

Title: Stop at Nothing

Author: Kate SeRine

Series: Protect & Serve, #1

Pubdate: November 3rd, 2015

ISBN: 9781492618348

When a high-profile investigation goes wrong, FBI Agent Kyle Dawson is transferred back home where he is forced to confront his demons…and the only woman he ever loved. Three years ago, Kyle and Abby Morrow shared a wild, passionate summer—then Abby broke his heart.

Now she needs his help

Kyle never stopped loving Abby. So when Abby uncovers evidence of a human-trafficking ring, leading to her sister’s kidnapping, he swears he’ll stop at nothing to bring her sister home and keep Abby safe. Caught in a lethal game of cat and mouse and blindsided by their own explosive desires, they must set aside the past before it’s too late.

Kate SeRine writes award-winning romantic suspense and paranormal romance. A past recipient of an Emily Award and the National Readers Choice Award, she has also been a finalist in the Fire and Ice Contest, Finally a Bride Contest, and the Gayle Wilson Award of Excellence. She lives with her husband and two sons outside Indianapolis, Indiana. Connect with Kate at www.kateserine.com.

Buy Links:

Amazon: http://amzn.to/1M8LA5j

Apple: http://apple.co/1PJuRLM

BAM: http://bit.ly/1OUZk8T

B&N: http://bit.ly/1jWKVNG

Chapters: http://bit.ly/1GtwBXl

Indiebound: http://bit.ly/1LIHy4f

Kobo: http://bit.ly/1GXfV5k

 

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Guest Post (+traduction): Suzanne McLeod (giveaway – concours)

 

Welcome to Suzanne McLeod, the author of the awesome Spellcrackers.com series. Thanks to the author for her post.
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Bienvenue à Suzanne McLeod, l’auteure de la fantastique série : Spellcrackers.com. Merci à l’auteure pour son post.

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Hello, and thanks so much to Delhia for having me back as a guest again for her anniversary! It’s lovely to be here, and today I’m going to talk about some of the magical creatures in my books. When I put my Spellcrackers world together I decided I wasn’t going to limit the supernatural creatures to one type, such as vampires, but that the world in the books would be populated by a whole range of different magical creatures, much in the same way that nature has populated our world with such an amazing number of different species.

So I started with vampires and fae (since they’re my favourite supes!), and the witches, and then added in the Others; a catch all term for those characters who, amazingly enough, are Other ;-). Some of the creatures classed as Others are trolls, goblins, pixies, gnomes, were-creatures, dragons, and there’s even a mini cameo by a phoenix in The Shifting Price of Prey, the latest Spellcrackers book! (Inserts obligatory self-promo *g*).

Once I started bringing in all the different supernatural species I needed to work out what characteristics they each had, how closely their characteristics would follow known myths and legends, how each species would mesh with all the other creatures both magical and non-magical, and come up with any unique ‘Spellcrackers’ tweaks I could give them. Here’s a little insight into the trolls in the Spellcrackers’ world.

There are three types of troll: mountain, concrete, and tree.

Mountain trolls mostly live in matriarchal tribes high in the mountains. They are born from troll parents and they’re a sort of ‘living stone’ (such as granite, marble, or slate). Mountain trolls are usually placid in nature, and are unwavering pacifists. When they’re young, they venture out to see the world and, of course, to work (they send a tithe back to their tribe). Due to their calm natures (and large size) young male trolls gravitate to working with the police or security, though they never join any military force as they refuse to participate in violence unless absolutely forced to defend themselves. Female trolls don’t leave their tribes as much as the males, though, as they’re renowned for their expert negotiating skills and political acumen, when they do leave it is usually to take up special advisory positions either in government or with corporate business.

As for what mountain trolls do for kicks, they have an affinity for bridges and whenever there’s a new moon they gather at the nearest sanctioned bridge and hold celebratory New Moon parties! One of Genny’s closest friends and her sort of ‘big brother’ is Hugh Munro, who is a mountain troll from the Cairngorms in Scotland, and who works as a Detective Sargent for the Magic and Murder squad at Old Scotland Yard in London.

Concrete trolls are formed (mostly from concrete ;-)) as opposed to born, and then animated by magic. They are similar to the golems of Jewish folklore, though unlike golems once a concrete troll is animated, it becomes an independent living, thinking being. Originally concrete trolls were enslaved to their maker (or whoever put up the cash), and they were mostly used for manual labour but thanks to the Chrystal Macmillan 1918 addendum to the British Slavery Abolition Act 1833, concrete trolls are now emancipated, and have the same rights as mountain trolls.

Unfortunately, since concrete trolls are made from inanimate matter, they don’t have the ability to reproduce and as such are asexual and so live solitary lives. However they do love gambling and casinos and, despite their sometimes crude manufacture, are very dextrous, so they can often be found working as croupiers or even running impromptu dice games!

Tree trolls are made from the wood of dryad’s tree. They are carved and pieced together (Pinocchio style) by the Southern dwarves, and animated by magic. Because of this, tree trolls are actually very rare and expensive, as dryad’s wood, even when reaped under agreed contracts, is dangerous to work with. Tree trolls were mostly used as scouts in forested areas to search out and harvest new and hard to reach medicinal plants (tree trolls are excellent climbers) but with cheaper ways of collection and greater synthetisation of pharmaceutical ingredients, tree troll creation had almost died out by the end of the twentieth century.

Tree trolls were ‘saved’ when the goblin queens discovered they could improve their offspring’s eyesight (after millennia spent in the darkest depths of the earth, goblins are virtually blind – something that is a disadvantage when working in the humans’ world) by introducing the occasional tree troll into the goblin family trees! Tree trolls are shy creatures, concerned less with parties and material things and more about the environment, so when they’re not being Courted by goblin queens, they spend their free time hugging trees and passively protesting any sort of deforestation.

I hope you’ve all enjoyed reading about the trolls, and if you’d like to find out more about them and all the other magical creatures in the world of Spellcrackers then why not have a read of my books! (Bats eyelashes – points to giveaway below *g*) Many thanks again to Delhia for inviting me!

(Giveaway of one of my books. Winner’s choice. International wherever Book Depository deliver. )

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Bonjour et merci beaucoup à Delhia de m’avoir à nouveau en tant qu’invité pour l’anniversaire de son blog! C’est agréable d’être ici et, je vais vous parler aujourd’hui de quelques-unes des créatures magiques de mes livres. Lorsque j’ai assemblé le monde de Spellcrackers, j’ai pris la décision de ne pas limiter les créatures surnaturelles à un seul type, comme les vampires, mais au contraire, que le monde décrit dans les livres serait peuplé par toute une gamme de différentes créatures magiques, de la même manière que la nature a peuplé notre monde avec un nombre incroyable d’espèces différentes.

Donc, j’ai commencé avec les vampires, les faes (car ce sont mes préférés) et les sorcières, puis j’ai ajouté les Autres ; un terme assez fourre-tout pour ces personnages qui, assez étonnamment, sont les Autres 😉 Certaines de ces créatures classées dans la catégorie Autres sont des trolls, des gobelins, des pixies, des lutins, des gnomes, des garous, des dragons, et il y a même un mini camée avec un phoenix dans The Shifting Price of Prey, le dernier livre de la série Spellcrackers! (pub obligatoire pour l’auto-promo * g *).

Une fois que les différentes espèces surnaturelles amenées, je me suis également penchée sur les caractéristiques propres à chacun, jusqu’à quel point leurs caractéristiques suivraient les mythes et les légendes connues, comment chaque espèce cadrerait avec toutes les autres créatures à la fois magiques et non-magiques, pour en venir aux réglages uniques de « Spellcrackers » que je pourrais leur donner. Voici un petit aperçu des trolls dans le monde des Spellcrackers.

Il existe trois types de troll: montagne, béton, et arbre.

Les trolls des montagnes vivent principalement dans des tribus matriarcales, haut dans les montagnes. Ils sont nés de parents trolls et sont une sorte de «pierre vivante» (comme le granit, le marbre ou l’ardoise). Les trolls des montagnes sont souvent de nature placide et sont d’inébranlables pacifistes. Quand ils sont jeunes, ils se risquent à sortir pour voir le monde et, bien sûr, à travailler (ils envoient une dîme à leur tribu). En raison de leur nature calme (et de leur grande taille), les jeunes trolls mâles ont tendance à travailler aux côtés de la police ou de la sécurité, mais ils ne rejoignent aucune force militaire quelle qu’elle soit, comme ils refusent de participer à la violence, sauf s’ils sont absolument obligés de se défendre. Les trolls femmes ne quittent pas leurs tribus autant que les hommes, même si, comme elles sont réputées pour leurs techniques de négociation très expertes et leur perspicacité politique, quand elles sortent, c’est généralement pour prendre spécialement position, à titre consultatif soit au gouvernement ou au sein des entreprises.

Quant aux hobbies et passions des trolls montagne, ils ont une affinité pour les ponts et chaque fois qu’il y a une nouvelle lune, ils se rassemblent sur le pont sanctionné le plus proche et y tiennent une célébration, ce sont les « New Moon parties »! L’un des plus proches amis de Genny et qui est en quelque sorte son «grand frère» est Hugh Munro, qui est un troll des montagnes de Cairngorms en Ecosse, et qui travaille comme détective Sargent pour la Magic and Murder squad, une branche de la vieille Scotland Yard à Londres.

Les trolls béton sont formés (surtout à partir de béton ;-)) par opposition aux trolls des montagnes qui sont nés trolls, puis sont animés par magie. Ils sont similaires aux golems de folklore juif, bien que, contrairement aux golems, une fois qu’un troll béton est animé, il devient un être indépendant et pensant. A l’origine, les trolls béton ont été asservis par leur créateur (ou par celui qui a mis de l’argent sur la table), et ils ont été principalement utilisés pour le travail manuel, mais grâce à l’addendum Chrystal Macmillan de 1918 à la loi britannique d’abolition de l’esclavage de 1833, les trolls bétons sont désormais émancipés et ont les mêmes droits que les trolls des montagnes.

Malheureusement, comme les trolls béton sont fabriqués à partir de matière inanimée, ils ne possèdent pas la capacité de se reproduire. Par conséquent ils sont asexués et mènent ainsi une vie solitaire. Cependant, ils s’adonnent aux jeux d’amour et aux jeux de casino et, en dépit de leur fabrication parfois un peu brute, ils sont très habiles, de sorte qu’il n’est pas rare d’en trouver quelques-uns travaillant comme croupiers ou même dans l’exécution des jeux de dés impromptus!

Les trolls arbres sont fabriqués à partir du bois de l’arbre de dryades. Ils sont sculptés et reconstitués (style Pinocchio) par les nains du Sud, et animés par magie. Pour cette raison, les trolls arbres sont en fait très rares et coûtent très cher, comme le bois de dryades car même lorsque qu’il est récolté en vertu de contrats conclus, il est dangereux de travailler avec ce matériau. Les trolls arbres ont été principalement utilisés comme éclaireurs dans les zones boisées afin de rechercher et de récolter de nouvelles plantes médicinales difficiles d’accès (les trolls arbres sont d’excellents grimpeurs), mais avec des moyens moins coûteux de collecte et une plus grande synthétisation des ingrédients pharmaceutiques, la création de trolls arbres a pratiquement cessé à la fin du XXe siècle. Les trolls arbres ont été «sauvés» par les reines gobelins qui ont découvert qu’ils pouvaient améliorer la vue de leur progéniture (après des millénaires passés dans les sombres profondeurs de la terre, les gobelins sont pratiquement aveugles – ce qui est un inconvénient de taille lorsque l’on travaille dans le monde des humains) en introduisant occasionnellement un troll arbre dans la généalogie des familles de gobelins! Les trolls arbres sont des créatures timides, peu concernées par les partis et les choses matérielles et qui se soucient plus de l’environnement, alors quand ils ne sont pas courtisés par les reines gobelins, ils passent leur temps libre à étreindre les arbres et à protester passivement contre toute sorte de déforestation.

J’espère que vous avez tous apprécié cette lecture sur les trolls, et si vous souhaitez en savoir plus sur eux et sur toutes les autres créatures magiques qui font partie de l’univers de Spellcrackers, alors pourquoi ne pas tenter de lire mes livres (Bat des cils – Modalités du concours ci-dessous * g *)

Merci encore à Delhia de m’avoir invité!

(Concours pour gagner un de mes livres. Au choix du gagnant. Concours international, dans la mesure où Book Depository livre dans votre pays.)

Bio: Suzanne McLeod is the author of the Spellcrackers.com urban fantasy series about magic, mayhem and murder – spiced with dangerous faeries, Machiavellian vampires, bureaucratic witches, eccentric goblins, and rock-solid trolls! The Shifting Price of Prey is her latest book. Suzanne has been a cocktail waitress, dance group roadie, retail manager, and international spy (kidding!) before becoming a writer. She was born in London (her favourite city and home to Spellcrackers.com) and now lives on the sunny (sometimes) South Coast of England, with Mr Mc, their two rescued HellHounds, and a colony of Pipistrelle bats!

Suzanne’s website: http://www.spellcrackers.com/

Twitter: @Suzanne_McLeod

Facebook: https://www.facebook.com/pages/Suzanne-McLeod-Author/143507599017659

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